M. Colloghan

jeudi 20 novembre 2014

Film et débat sur l’expérience Cecosesola (Venezuela)

Parmi les 20 films présentés dans le cadre de « Sortir du Cadre », 12ème édition du Festival de cinéma d’Attac, qui se déroulera du 18 au 23 novembre 2014, l’Association Autogestion participera au débat qui fera suite à la projection du film « L’expérience Cecosesola ».

 

Samedi 22 novembre à 20h30 Cinéma la Clef – 21, rue de la clef – Paris 5°
Projection du film « L’expérience Cecosesola »
précédée du court-métrage « Rosie » et suivie d’un débat :
« J’aime l’entreprise… quand elle est autogérée ! »
Tarif unique : 6,50 €, Carte 5 séances : 22,50 €


Rosie
de Nadine Marcovici – France, 2011, 16 mn
Paul, 15 ans, seul chez lui, se retrouve face à Rosie qui fait du porte à porte en vendant des bijoux pour essayer de s’en sortir. Une rencontre improbable qui aura des conséquences inattendues pour l’un comme pour l’autre…

L’expérience Cecosesola
de Ronan Kerneur et David Ferret –
Documentaire, France, Guatemala, Vénézuela,
2014, 58 mn, vostfr
En 1967, la coopérative Cecosesola a vu le jour à Barquisimeto au Venezuela. Aujourd’hui, ce sont plus de 1200 travailleurs associés qui gèrent des supermarchés populaires, les ferias, où affluent chaque semaine des milliers de consommateurs. Égalité des revenus, rotation des postes, et absence de hiérarchie sont les piliers de l’organisation.


Débat: J’aime l’entreprise… quand elle est autogérée !
Avec 

* Jean-Marc de Boni, Président du Directoire de la Nef, * Richard Neuville, membre de l’Association Autogestion * Tom Boothe, cofondateur et président de la Coopérative La louve
et l’un des réalisateurs du film L’expérience Cecosesola,  

* Ronan Kerneur
Aucun chef, pas de structure hiérarchique, souvent des salaires identiques pour tous, quels que soient le poste de travail et l’ancienneté. Des maîtres mots comme participation, confiance, apprentissage. Une économie en autogestion aux antipodes du capitalisme ambiant. Oui, c’est possible ! À travers le monde, dans des secteurs d’activités aussi variés que la banque, la distribution alimentaire, la formation, des initiatives locales et originales voient le jour et se développent. Elles portent un nom : les coopératives où le pouvoir est exercé démocratiquement et dame le pion à la rentabilité et au profit à tout crin.
Une économie où ne s’imposent pas la loi du plus fort et l’aliénation des travailleurs est-elle possible, est-elle viable ? Comment fonctionnent ces initiatives et comment les promouvoir pour qu’elles essaiment ?

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